mercredi 3 novembre 2010

Programme de la Biennale Universitaire pour l'égalité entre les Femmes et les Hommes

Biennale pour l'égalité
entre les Femmes et les Hommes
Université Lyon 1
15-25 mars 2011
ACTUALITE du 16 juillet 2012:  Pour accéder aux Actes de la Biennale 2011 en ligne, cliquer ici.

Les inscriptions sont ouvertes pour la première Biennale universitaires pour l'égalité entre les Femmes et les Hommes.

L'Université Lyon 1organise sa première biennale pour l'égalité entre les Femmes et les Hommesplacée sous le Haut parrainage de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

Dans le cadre de sa politique visant l’égalité entre les Femmes et les Hommes, l’Université Lyon 1 (France) institue une
Biennale Universitaire pour
l’Egalité entre les Femmes et les Hommes
du 15 au 25 mars 2011
.
Respectueuse des grands axes de la Convention interministérielle pour l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes dans le système éducatif du 29 juin 2006, l’Université Lyon 1, s’est dotée d’une Charte pour l’Egalité entre les Femmes et les Hommes signée par son Président, Lionel Collet, le 18 décembre 2007. Cette charte a été adoptée par la Conférence des Présidents d’Université (CPU), deux ans plus tard, en décembre 2009.


Biennale universitaire pour l'égalité
entre les Femmes et les Hommes
Université Lyon 1
La mise en oeuvre de la charte s'appuie sur une mission pour l'égalité entre les Femmes et les Hommes. La mission propose les grandes orientations pour une politique égalitaire à l’Université Lyon 1. Ces orientations touchent les domaines de l’enseignement, de la formation des personnels, de l’orientation et de l’insertion professionnelle des étudiant-e-s, de la recherche, de la diffusion des connaissances, de la prévention des violences sexuelles, sexistes et homophobes et de la collaboration internationale.

Outil de cette politique, la Biennale vise à impulser une réflexion plurielle et rigoureuse sur la question de l’égalité entre les hommes et les femmes à l’Université mais aussi à partir de l’Université, sur tous les points précédents. Ses objectifs sont de trois ordres :

1) faire le point sur les orientations politiques en faveur de l’égalité, et sur leurs mises en œuvres, en France, en Europe, ainsi que dans d’autres universités francophones.

2) interroger les politiques en faveur de l’égalité, dans leurs spécificités comme dans leurs complémentarités. Il s’agira de questionner les conséquences des termes utilisés pour orienter ces politiques, comme par exemple, « égalité entre les femmes et les hommes », « égalité des chances », parité, diversité, lutte contre les discriminations, etc.

3) Enfin, le troisième objectif consiste à positionner l’Université comme un pôle de ressources en matière de formation aux questions du genre et de l’égalité, dans les domaines de la santé, de l’Education, de la prévention des violences, de la lutte contre les stéréotypes et les discriminations.

Pour atteindre ces objectifs, plusieurs actions ont été programmées sur les dix jours de Biennale
Parmi elles, figurent trois moments forts correspondant à trois niveaux d’analyse et d’implication




Par ailleurs, d’autres actions sont prévues en direction des étudiants et des personnels de l’Université Lyon 1, mais aussi du grand public. Durant les dix jours de la Biennale, en effet, des manifestations culturelles et festives se tiendront sur divers sites universitaires et non universitaires de l’agglomération lyonnaise.
Parmi ces manifestations, des expositions, conférences, débats, mais aussi le lancement, en clôture de la biennale du deuxième Printemps de la Jupe et du Respect de Lyon.

1 commentaire:

  1. Il me semble qu'à la racine de ce problème de société nous devrions explorer, si ce n'est déjà pas fait,"l'anthropologie du dimorphisme sexuel". Depuis "la cueillette et la chasse", et plus tard les guerres déclenchées par la défense du patrimoine sédentaire, les caractères dominants et recéssifs se seraient accentués, dont l'aggessivité du guerrier. Plus exactement l'adrénaline et les supra-rénales semblent avoir joué un rôle non négligeable dans le clivage dimorphique jusqu'à nos jours. Faut-il s'étonner de la ritualisation du viol des vaincus par les vainqueurs,tel qu'il s'est perpétué jusqu'à présent ?

    Le développement clitoridien, ne symbolise pas la quête de libération de la femme para rapport au rôle récessif (ou réceptif)aux quels elle futr réleguée au fil des siècles ? Et l'escission telle qu'elle est pratiquée de nos jours dan,s une partie de l'Afrique, n'est pas le déni définitif de la masculinité latente en chaque femme ?

    Sujets de refelxion me semble-t-il, auquel maladroitement la pornochirurgie brésilienne( pour ne citer qu'un exemple) tente de donner une réponse intéressée (marché du sexe) alors que le monde scientifique reste quasiment inerte face aux légitimes révindications de place égalitaire, de dignité, et de droit au plaisir réclamés par les femmes.

    Merci et à votre disposition philosophique,

    RAUL

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